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Le parachute

Engin aérien, le parachute est utilisé pour décélérer aérodynamiquement la vitesse d’un mobile, qui peut être due à la gravité ou à la propulsion. La décélération est reçue en fournissant au vent général de votre atmosphère relatif au cellulaire une surface de travail supérieure à celle relative à ce dernier. Ainsi, un homme en chute libre à une vitesse régulière d’environ 50 m par seconde reconnaît sa vitesse réduite à 6 m par seconde après l’ouverture d’un parachute de 60 mètres carrés de voilure.

Le parachute est couramment utilisé dans différents domaines : récupération d’équipes et éventuellement de leur aéronef ; récupération de personnel et de produits au retour d’un lieu ; récupération de travailleurs (troupes de choc, sauveteurs) et de matériels ou de sauvetage ; entraînement à un sport aérien (parachutisme sportif) ; assistance à l’avion (freinage, tourbillonnement, obtention d’une attaque). Le parachute est vraiment un tissu difficile à apprendre simplement parce que, créé à partir d’un type de substance flexible, il ne se prête pas à la sortie de modèles raisonnables de tunnel aérodynamique. Les principales améliorations qui ont été apportées au fil des ans l’ont été en réponse à certaines exigences ou en raison d’une recherche intense et très coûteuse liée à divers conflits mondiaux ou à des applications locales.

Dès 1495, Léonard de Vinci explique et dessine un parachute (qui sera analysé en 2008 par un parachutiste suisse) ; en 1616, Veranzio évoque la résistance de l’air dans la voilure. En 1783, Louis Sébastien Lenormand propose l’expression parachute, et c’est ainsi que le 27 octobre 1797, André-Jacques Garnerin effectue la première véritable descente, depuis un ballon (environ mille mètres de descente). De ce premier rebondissement jusqu’en 1908, le parachute s’est développé grâce aux découvertes des pilotes d’avions cascadeurs : Baldwin, Spencer et Paulus. L’arrivée de la ligne aérienne accélère les rapports pour votre reconnaissance de tout matériel réputé, et avant août 1914, de Stevens, Broadwick, Pinot, Robert ont changé le produit primitif, qui peut avoir un usage des services militaires. Tout au long de la première guerre mondiale, de nouvelles améliorations sont apportées par Juchmés et aussi par Heinecke. Entre vos deux batailles, Smith, Irvin font progresser la machine puis, lors du Second Conflit Planétaire Kostelesky, Heinrich puis Lemoigne, Rogallo, Jalbert… excellent le parachute.

L’élément essentiel du parachute sera la voilure, elle peut être réalisée en construisant les fuseaux (bandes pré-réduites qui se trouvent être cousues en fonction d’une structure donnée). La conception de la voile et la façon dont elle est placée par rapport à l’autre personne déterminent la géométrie de la voile et ses performances globales particulières. Les formes de base sont nombreuses : hémisphérique (Garnerin, 1797), carrée (Froidure, 1922), lisse (Irvin, 1923), triangulaire (Smith, 1924), parabolique (Russell, 1926), conique (1944), triconique (1967), cruciforme, annulaire, multicupole, etc. En utilisant ces formes fondamentales, les parachutes d’athlétisme contemporains sont acquis en signant pour des conteneurs à portions rectangulaires, formant une aile dont les attributs aérodynamiques rappellent, de manière beaucoup plus ancienne, l’aile de votre avion (Jalbert, 1964).

L’aile peut être « forte » ou comporter des ouvertures dont la « cheminée » (Lalande, 1797), qui est un moyen de stabilisation, le port (Derry, 1942), qui permet la stabilisation et la rotation, ou des tuyères (Lemoigne, 1961), qui facilitent la rotation et l’avancement horizontal. La combinaison de ces possibilités est souvent employée. A l’origine, les voilures étaient fabriquées en soie et en 100 % coton. Puis, le nylon, moins coûteux, est recommandé en raison de ses qualités d’opposition et d’élasticité. Pour les voiles modernes, le nylon est remplacé par le polyamide, qui présente des caractéristiques mécaniques supérieures. Certaines voiles de charge en usage sont fabriquées à partir de composants de substitution : coton pur, rayonne, type plastique, jute, papiers, etc. Sur le périmètre extérieur de la voile, et dans certains cas sur son fond, saut en parachute Paris des lignes sont cousues. Elles servent de lien entre la housse et l’utilisateur. Dès que le parachute est ouvert, plusieurs d’entre elles, reliées à des poignées, permettent de manœuvrer la housse (déplacement latéral, rotation, freinage). Le système d’accessoires sur le mobile peut être différent, depuis la pince en forme de ballon de football pour les parachutes de freinage d’avion jusqu’aux harnais sophistiqués utilisés par les employés.

Construction industrielle: plus de technologie

Les technologies de la construction devancent les prévisions en matière d’entretien des équipements. La plupart des gens éviteraient qu’une maladie ne devienne grave en se rendant chez un médecin alors qu’ils présentent des symptômes minimes, permis de construire d’un batiment industriel afin d’obtenir un pronostic professionnel et de vérifier que leur physique se rétablit. Alors pourquoi la plupart des solutions actuelles de télématique et de surveillance de la maintenance négligent-elles de surveiller la situation avant qu’elle ne devienne grave ?

Les systèmes d’alerte mis en place par les fabricants au moment de la fabrication n’informent les consommateurs qu’une fois qu’un problème s’est produit et que des réparations sont immédiatement nécessaires. Il s’agit là d’une façon désastreuse d’aborder la question de l’entretien. En réponse, les gestionnaires de flotte tentent d’éviter ce type de temps d’arrêt non planifié en adoptant des plans d’entretien basés sur le temps. Bien que cela présente certains avantages pour les gestionnaires de flotte très occupés, il y a une différence entre la possibilité de prévoir à l’avance les temps d’arrêt nécessaires et le fait de devoir programmer des temps d’arrêt de routine pour un entretien potentiellement inutile.

Si le temps est un facteur clé, les conditions sont tout aussi importantes, sinon plus. Informez-vous sur les dernières technologies de « moteur intelligent ».

Les objectifs de la gestion de flotte comprennent la coordination de tous les équipements d’une entreprise, la réduction des frais d’exploitation et l’entretien approprié et fréquent de chaque pièce d’équipement, ainsi que la grande quantité de documents complets indispensables au bon fonctionnement des entreprises de construction. De nombreux responsables se tournent vers l’assistance numérique pour s’acquitter de ces responsabilités rigoureuses, et il existe de nombreuses solutions (notamment de la part des équipementiers). L’un des outils les plus susceptibles d’être utilisés par les gestionnaires est un logiciel de gestion de l’entretien qui les aide à entretenir les équipements tout en réduisant les coûts liés aux temps d’arrêt ou aux accidents.

Avec une variété de variations entre chaque solution, il existe un certain type de surveillance de la maintenance qui n’est pas encore devenu la norme dans l’industrie malgré ses capacités efficaces et effectives : les solutions de surveillance de la maintenance basées sur l’état (GMAO). Le marché de la construction se réchauffe, avec des technologies révolutionnaires qui poussent les entreprises à un niveau supérieur. Le contrôle de la maintenance devrait pousser à être prédictif comme une avenue de plus pour rester compétitif.

Même si les technologies ne cessent de se développer pour offrir aux propriétaires de meilleures alertes ou leur fournir des véhicules autonomes, l’étape suivante de l’évolution des outils lourds consiste à prévoir les problèmes avant qu’ils ne surviennent – une responsabilité pour laquelle la technologie GMAO est bien équipée. En fournissant une vue d’ensemble continue et complète de chaque équipement du parc, qu’il s’agisse de l’analyse des générateurs ou des services de localisation, les analyses prédictives de la technologie GMAO conduisent à de meilleurs modèles d’entretien préventif, mais à la seconde près, comme si vous aviez un médecin avec vous à chaque étape du processus.

En plus d’augmenter la durée de vie utile des actifs en prévenant les dommages permanents, les propriétaires de parcs automobiles tirent plusieurs avantages importants de l’achat de technologies de GMAO, notamment les suivants :

Réduction des coûts d’entretien : Financer entièrement les services d’entretien en cas de besoin plutôt que selon un calendrier est rentable et augmente le retour sur investissement d’une entreprise.

Augmentation de la capacité de création : La GMAO fournit aux gestionnaires des mises à jour régulières sur l’état de santé des moteurs, ce qui leur permet d’élaborer une meilleure stratégie de maintenance et de rotation des équipements au sein du parc. Essentiellement, elle accroît la disponibilité d’équipements en état de marche et prêts à être déployés sur le site.

Un gain de temps sur les réparations et l’entretien : L’entretien et les réparations demandant du temps, le fait de savoir quand un service est nécessaire permet d’investir du temps dans des projets commerciaux plus importants.

Surveillance à distance 24/7 : La plupart des options de GMAO permettent de vérifier les équipements 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 à partir du téléphone de l’utilisateur ou d’un navigateur Web, ce qui accroît l’efficacité de la flotte en fournissant un résumé centralisé et un classement pour tous les véhicules.

Les professionnels du secteur connaissent bien les problèmes de chaîne d’approvisionnement et l’augmentation des dépenses de matériel résultant de la pandémie de COVID-19. Avec une forte demande de matières premières, les fournisseurs locaux n’ont pas pu répondre à la demande, ce qui a entraîné des retards de livraison et des reports de projets – ce qui peut entraîner des coûts supplémentaires lorsqu’il s’agit de payer des agents de développement sur une période prolongée.

Face à l’augmentation constante des coûts, les propriétaires de parcs automobiles doivent adopter des méthodes nouvelles et impressionnantes pour préserver la santé de leurs véhicules et de leurs équipements. La surveillance en fonction de l’état peut aider en réduisant la quantité de matériaux d’entretien et de restauration gaspillés pour des entretiens programmés inutiles et en préservant pour les utilisateurs d’équipements la situation financière nécessaire au bon fonctionnement de leurs flottes.

La mise en œuvre d’une approche prédictive n’aide pas seulement les opérateurs à terminer leurs tâches à temps, mais permet également aux administrateurs d’entreprise d’élever leurs procédures au niveau supérieur.

En tant que synonymes, la « surveillance prédictive de l’entretien » et la « surveillance de l’entretien basée sur l’état » permettent une augmentation rapide de l’application et de la gestion de la flotte. Des fonctions telles que la surveillance du moteur des équipements, l’exposition de la flotte en temps réel, les flux de travail des conducteurs et la confirmation sont autant d’éléments qui donnent aux entreprises un avantage concurrentiel sur leurs homologues. L’entretien prédictif conduit à des opérations prédictives – une position affirmée dans l’accomplissement des tâches plus rapidement que les entreprises sans avantage numérique.

En offrant aux propriétaires de parcs de véhicules une vue d’ensemble de l’état de leurs équipements dans une optique de prévention, la technologie du bâtiment n’a jamais été aussi prometteuse pour l’avenir. Avec les améliorations à venir impliquant l’intégration de la GMAO aux équipements électriques et aux véhicules autonomes, l’efficacité de l’investissement dans une solution de surveillance de la maintenance prédictive est étonnante. Minimisez les temps d’arrêt des équipements et les réparations inutiles et évitez de surpayer les composants et les éléments en aidant les avancées scientifiques récentes et futures dans les procédures de construction.

Une doctrine du libéralisme écologique

En 2007, Nicholas Stern, l’économiste britannique bien connu et ancien économiste clé de la Banque mondiale, a écrit que «la transformation du climat est causée par le meilleur dysfonctionnement du marché que le monde entier ait connu.» L’évaluation de Stern était sévère, mais pas hyperbolique . C’est vraiment pour votre simple raison que, chaque fois que nous considérons sérieusement la science du climat, nous ne pouvons pas empêcher la conclusion que nous courtisons la catastrophe écologique en ne stabilisant pas le climat. Le néolibéralisme est un facteur de motivation qui crée les problèmes météorologiques. La raison d’être du néolibéralisme est en fait une variante du libéralisme traditionnel, et le libéralisme traditionnel crée à partir du concept que chacun devrait avoir la liberté optimale de poursuivre sa curiosité personnelle dans les options du marché capitaliste. Mais le néolibéralisme diffère également considérablement du libéralisme classique: ce qui se passe réellement dans le cadre du néolibéralisme, c’est le fait que les autorités gouvernementales permettent aux sociétés massives d’exploiter librement les possibilités de profit au maximum, et les gouvernements interviennent même sur le compte des sociétés lorsque leurs bénéfices pourraient être en danger. La façon dont les compagnies pétrolières ont réagi pour se débarrasser des preuves du changement climatique représente une étude dramatique de la situation du néolibéralisme dans la réalité. En 1982, les chercheurs travaillant à l’époque à Exxon Corporation (maintenant Exxon Mobil) ont estimé qu’en 2060 environ, brûler de l’huile essentielle, du charbon et du gaz pour produire de l’électricité augmenterait les conditions moyennes de la planète d’environ 2 ° Celsius. Par conséquent, cela créerait précisément les types d’énormes interruptions de l’environnement que les gens ont de plus en plus expérimentés considérant que les années 80, c’est-à-dire les extrêmes de chaleur, les précipitations abondantes, les sécheresses, les étendues de la mer et les déficits de la biodiversité, avec des effets correspondants sur le bien-être, les moyens de subsistance , la salubrité des aliments, l’approvisionnement normal en eau et la sécurité individuelle. En 1988, des experts de la société Shell sont parvenus à des conclusions très similaires. Nous comprenons actuellement ce qu’Exxon et Casing ont fait avec ces informations particulières: ils les ont cachées. Ils le font pour l’explication évidente pourquoi, alors que l’information était alors connue, cela aurait pu menacer leurs perspectives d’obtenir des revenus énormes de la production et de la commercialisation d’huile essentielle. Il n’est pas possible de minimiser le fait que ce qu’Exxon et Casing ont réalisé était immoral. Pourtant, il est tout aussi clair que chaque organisation s’est comportée précisément sur la base des préceptes du néolibéralisme – c’est-à-dire qu’elle s’est comportée pour protéger ses revenus. De plus, ils ont continué dans les années 80 à agir selon les préceptes du néolibéralisme en extrayant les plus importantes subventions réalisables qu’ils pouvaient facilement obtenir de presque tous les gouvernements du monde. Au milieu de tout cela, aucune des deux organisations n’a subi de sanctions du gouvernement fédéral pour sa conduite. Bien au contraire, ils ont continué à faire de gros bénéfices et à recevoir d’importantes subventions publiques. Vaincre le néolibéralisme est évidemment une entreprise politique d’une importance frustrante. Mais nous ne pouvons pas espérer vaincre le néolibéralisme à moins, bien sûr, que nous ayons mis en place une alternative viable. C’est à ce moment que la pensée du nouveau paquet écologique devient centrale. Le Green New Deal s’est imposé comme un cadre d’arrangement au cours des dernières années. Cette seule chose est en fait une réalisation importante. Pourtant, il est néanmoins impératif que les gens transforment cette grande pensée en un plan réalisable. À l’intérieur de mon regard, l’ajout de viandes dans vos os dans le nouveau package écologique commence par un seul concept simple: nous devons arrêter complètement de brûler du pétrole, du charbon et du gaz pour créer de l’énergie au plus dans les 30 années suivantes; et nous devons le faire d’une manière qui soutiendra également l’augmentation du niveau de vie et l’augmentation des possibilités pour les gens qui fonctionnent et aussi les mauvais dans le monde. Cette édition d’un système de Nouvelle Offre Écologique est, en réalité, entièrement réaliste au regard de ses caractéristiques purement économiques et spécialisées. Les alternatives énergétiques propres, telles que l’énergie solaire, l’énergie éolienne, la géothermie, ainsi que dans une moindre mesure l’hydroélectricité à petite échelle et la bioénergie à faible teneur en polluants, sont à la fois à la charge des combustibles standard et du nucléaire, ou celles-ci sont moins chères. En outre, l’approche la plus simple et la plus abordable pour réduire les émissions consiste toujours à relever les normes de performance de vitalité au moyen, entre autres actions, de la modernisation des structures actuelles, de faire fonctionner les nouvelles structures comme des consommateurs de vitalité nets et d’échanger des voitures gourmandes en gaz avec l’expansion transports publics et automobiles électriques. Les actions de performance énergétique, par définition, permettront aux gens d’économiser de l’argent.Par exemple, les factures d’électricité de votre propriété pourraient logiquement être réduites de 50 pour cent sans avoir à diminuer la somme que vous allumez, température ou impressionnez votre maison. Par conséquent, le Green New Package ne coûtera rien aux consommateurs avec le temps, tant que nous résolvons le problème de soutenir les investissements du New Deal respectueux de l’environnement grâce aux économies financières que nous obtenons en augmentant les exigences de performance et en produisant des énergies renouvelables à bas prix.

Le succès des drones

Du New York Times, alors que le stress repousse les opérateurs de drones, l’Air Force doit couper ses vols »
Ce qui semblait être un avantage du travail, la nouvelle façon dont les équipages pouvaient piloter des drones Predator et Reaper via des liaisons par satellite tout en vivant en toute sécurité aux États-Unis avec leurs familles, a créé de nouveaux types de stress alors qu’ils se déplaçaient constamment d’avant en arrière. entre la guerre et les activités familiales et deviennent, en fait, perpétuellement déployés.
Demander à nos gens de faire ce changement mental tous les jours, entrer dans la porte et penser: «  D’accord, j’ai mon visage de guerre et je vais me battre  », puis sortir de la porte et m’arrêter Walmart pour ramasser un carton de lait ou aller au match de football sur le chemin du retour – et le fait que vous ne puissiez pas parler de la plupart de ce que vous faites à la maison – tous ces facteurs de stress ensemble exercent une pression sur la famille, faire pression sur l’aviateur », a déclaré le colonel Cluff.
Voilà la citation du colonel. The Independent a une version différente, dans les dénonciateurs de drones américains secrets, les opérateurs «ont souligné et abusent souvent des drogues et de l’alcool» dans un aperçu rare du programme »
À une distance de 8 000 milles de leur base dans le désert du Nevada, les hommes ont utilisé des drones sans pilote transportant des missiles Hellfire, dans des endroits comme l’Afghanistan, le Pakistan, l’Irak et le Yémen.
…. Les opérateurs ont déclaré qu’ils étaient encouragés à déshumaniser leurs cibles et ont même qualifié les enfants qu’ils surveillaient avec leurs drones de mésanges « , ou de terroristes en formation », ou de terroristes de taille amusante « . Les quatre ont dit qu’ils avaient lutté contre la dépression et même des pensées suicidaires depuis qu’ils avaient cessé de fumer.
Les opérateurs ont déclaré qu’ils étaient censés combiner l’intelligence des signaux, l’imagerie et l’intelligence humaine. Souvent, il en manquait un ou plusieurs et pourtant ils continuaient les missions de mise à mort.
Le programme hémorragie les gens. Nous ne l’aimons pas.
Ce n’est pas un bon travail
 »
Selon une autre étude récente menée par l’Air Force, les analystes de drones dans la chaîne de mise à mort « sont exposés à plus de violence graphique – voyant des maisons et des villages détruits », témoins de cadavres ou de restes humains « – que la plupart des forces spéciales sur le terrain…. Contrairement aux soldats conventionnels, ils ne sont pas renforcés par la solidarité de groupe forgée dans les zones de combat. … Que se passe-t-il lorsque les risques sont entièrement unilatéraux? Lawrence Wilkerson, un colonel à la retraite de l’armée et ancien chef d’état-major de Colin Powell, craint que la guerre à distance n’érode l’éthique du guerrier », selon laquelle les combattants doivent assumer une certaine part de risque réciproque. Si vous accordez au guerrier, d’un côté ou de l’autre, une immunité totale et que vous le laissez continuer à tuer, c’est un meurtrier », a-t-il dit. Parce que vous tuez des gens non seulement que vous n’êtes pas nécessairement sûrs de vous tuer – vous les tuez en toute impunité. »
Donc, être opérateur de drone est un mauvais travail »1 car:
La nature du concert mélange le temps de travail et le temps privé (sortir de la porte et s’arrêter chez Walmart ») ou plutôt, convertir tout le temps en temps de travail;
Le concert fait des demandes tout en ne fournissant pas les outils pour y répondre (souvent il leur en manquait un ou plusieurs ”)
Le concert manque de cameraderie (ils ne sont pas soutenus par le groupe solidaire forgé dans les zones de combat »)
Le concert exige énormément d’empathie tout en ne permettant pas à l’opérateur d’offrir de l’aide (exposé à plus de violence graphique… que la plupart des forces spéciales sur le terrain »)
Le concert est moralement problématique (si vous donnez au guerrier… une immunité complète… c’est un meurtrier »).
Évidemment, être un opérateur de drone militaire est un cas limite pour les concerts de contrôle à distance, mais ces caractéristiques sont-elles vraiment vraies pour d’autres concerts, comme la modération de contenu? Je pense qu’ils sont.
Conditions de travail des modérateurs Facebook
Voyons maintenant l’article Verge (que je vous recommande de lire en entier). Nous passerons en revue les conditions de travail des modérateurs de contenu sur Facebook décrites par les dénonciateurs, et verrons lesquelles des caractéristiques ci-dessus, telles qu’elles ressortent de la description du travail des opérateurs de drones militaires, s’appliquent:
1. La nature du concert mélange le temps de travail et le temps privé.
Marcus a été obligé de modérer le contenu de Facebook – une responsabilité supplémentaire à laquelle il dit qu’il n’était pas préparé. Vétéran militaire, il était devenu insensible à la violence contre les gens, m’a-t-il dit. Mais lors de son deuxième jour de devoir de modération, il a dû regarder une vidéo d’un homme massacrant des chiots avec une batte de baseball. Marcus
rentra chez lui pour sa pause déjeuner
, a tenu son chien dans ses bras et a pleuré.
2. Le concert fait des demandes sans fournir les outils pour y répondre
Le stress qu’ils ont mis sur lui – c’est insolite », m’a dit l’un des managers de Keith Utley. J’ai fait beaucoup de coaching. J’ai passé un peu de temps à lui parler des choses qu’il avait du mal à voir. Et il était toujours inquiet de se faire renvoyer. »
Dans la nuit du 9 mars 2018, Utley s’est effondré à son bureau. Des collègues ont remarqué qu’il était en détresse lorsqu’il a commencé à glisser hors de sa chaise. Deux d’entre eux ont commencé à pratiquer la RCR, mais aucun défibrillateur n’était disponible dans le bâtiment. Un gestionnaire a appelé une ambulance. Utley a été déclaré mort peu de temps après à l’hôpital, victime d’une crise cardiaque… Les modérateurs qui travaillent dans ces bureaux ne sont pas des enfants, et ils savent quand ils sont condescendus. Ils voient la société lancer un jeu Connect 4 surdimensionné dans le bureau, comme ce fut le cas à Tampa ce printemps, et ils se demandent: quand cet endroit va-t-il obtenir un défibrillateur?
3. Le concert manque de cameraderie
Les employés avec lesquels j’ai parlé pensaient que son mandat illustrait l’approche de Cognizant en matière d’embauche de modérateurs: trouvez des corps partout où vous le pouvez, posez le moins de questions possible et placez-les dans un poste de production où ils peuvent commencer à travailler.
Le résultat est un lieu de travail bruyant où les gestionnaires envoient régulièrement des courriels au personnel pour se plaindre de leur comportement sur le site. Presque toutes les personnes que j’ai interviewées indépendamment ont comparé le bureau de Tampa à un lycée. Des altercations bruyantes, souvent liées à des relations amoureuses sur le lieu de travail, ont lieu régulièrement entre collègues. Des combats verbaux et physiques éclatent tous les mois, m’ont dit les employés.
4. Le concert exige énormément d’empathie tout en ne permettant pas à l’opérateur d’offrir de l’aide
Très tôt, Speagle est tombé sur une vidéo de deux femmes en Caroline du Nord encourageant les tout-petits à fumer de la marijuana et a aidé à informer les autorités. (Les outils du modérateur ont un mécanisme pour faire remonter les problèmes aux forces de l’ordre, et les femmes ont finalement été reconnues coupables de mauvais traitements infligés aux enfants.) À la connaissance de Speagle, cependant, les crimes qu’il a vus chaque jour n’ont jamais donné lieu à des poursuites judiciaires contre les auteurs. Le travail est devenu inutile, jamais plus que lorsqu’il a dû regarder des images d’un cas de meurtre ou de pornographie juvénile qu’il avait déjà retiré de Facebook.
5. Le concert est moralement problématique
Je voulais vraiment faire une différence », a déclaré Speagle à propos de son temps de travail pour Facebook. Je pensais que ce serait l’ultime chose qui ferait la différence. Parce que c’est Facebook. Mais il n’y a aucune différence. »
Je lui ai demandé ce qu’il pensait devoir changer. Je pense que Facebook doit fermer », a-t-il déclaré.
Conditions de travail pour les opérateurs distants en général
On nous dit que le travail à distance (téléprésence ») est l’avenir de nombreux emplois. Kara Swisher et Rani Molla de Recode / Decode ont une interview très intéressante avec Louis Hyman, auteur de Temp2. De la transcription:

Les migrants sont-ils mieux payés ?

Les migrants sont-ils mieux payés ou moins payés que leurs collègues natifs ? Cette colonne fournit un aperçu unique en examinant les données d’une industrie où il y a beaucoup d’étrangers et où leur qualité relative peut être facilement mesurée – le football professionnel en Italie.
Les migrants sont-ils payés plus ou moins que les natifs pour un travail identique ou similaire et, s’ils sont payés différemment, pouvons-nous être sûrs que cela est dû à leur statut de migrant plutôt qu’à d’autres différences entre les migrants et les natifs, telles que leurs niveaux de productivité ? Il s’agit d’une question de longue date en économie du travail, et qui reste largement non résolue en raison de l’insuffisance des données existantes. L’histoire standard ou traditionnelle est que les travailleurs migrants sont moins bien payés que leurs homologues autochtones, mais que l’écart se comble avec le temps en raison de l’assimilation dans le pays d’accueil. Cette assimilation implique souvent l’apprentissage de compétences propres au pays d’accueil, telles que les compétences linguistiques, ou le dépassement des barrières initiales à l’exercice du métier pour lequel ils ont été formés dans leur pays d’origine (Dustmann et Fabri 2003, Friedberg 2000). Néanmoins, une pénalité salariale persiste généralement et cela est souvent attribué à la discrimination sur le marché du travail en raison des préférences des employeurs.
Mais la théorie économique ne prédit pas nécessairement que tous les migrants recevront un salaire inférieur à celui des autochtones. En fait, dans un marché mondial de main-d’œuvre hautement qualifiée, les employeurs chercheront à recruter les meilleurs talents, qu’ils soient natifs du pays ou non. On peut s’attendre à ce que les travailleurs hautement qualifiés ne déménagent que dans des circonstances où ils reçoivent de très bonnes offres qui justifient leur départ de leur pays d’origine. Ainsi, il semble probable que les migrants seront tirés du haut du spectre des capacités, commandant une prime par rapport aux autochtones.
Pourquoi est-ce une question difficile à répondre?
La plupart des études existantes présentent deux très gros inconvénients qui font qu’il est très difficile de savoir si les migrants subissent réellement une pénalité salariale ou une prime salariale.
La première est qu’ils comparent les travailleurs entre les professions, ce qui rend difficile d’établir si les différences de salaire reflètent le statut de migrant ou sont, en fait, dues à des différences professionnelles ou de compétences.
Le deuxième inconvénient majeur est qu’ils manquent de productivité du travail au niveau individuel, de sorte qu’ils ne sont pas en mesure de quantifier la contribution à l’écart salarial des écarts de productivité du travail entre les natifs et les migrants.
Dans une nouvelle étude, nous surmontons les problèmes des études antérieures en analysant les écarts de salaire entre les footballeurs professionnels en Italie (voir Bryson et al 2012). Parce que les footballeurs migrants et natifs se substituent clairement les uns aux autres, et parce que nous disposons d’informations au niveau individuel sur ce que font les joueurs dans chaque match, nous sommes en mesure d’isoler les effets du statut de migrant sur les salaires.
Une prime salariale pour les migrants
En utilisant les données de suivi des joueurs des séries A et B italiennes pour la période 2000-2008, nous constatons une prime salariale substantielle pour les joueurs migrants par rapport à leurs homologues natifs (italiens). L’écart brut – sans tenir compte des différences entre les joueurs – est un énorme 62 %. Mais cela chute considérablement si l’on tient compte des différences de caractéristiques démographiques, de position sur le terrain et, surtout, de productivité du travail sur le terrain (en utilisant 20 mesures, l’ensemble de mesures le plus riche utilisé dans les études sur les performances des footballeurs). Un avantage salarial des migrants compris entre un quart et un tiers est toujours apparent même parmi les joueurs d’une même équipe et n’est que partiellement expliqué par la productivité individuelle du travail.
Deux questions évidentes se posent.
D’abord, pourquoi les migrants reçoivent-ils une prime ?
Deuxièmement, les équipes italiennes bénéficient-elles du paiement de ces salaires plus élevés aux joueurs étrangers ?
Nous explorons deux raisons potentielles de l’avantage salarial des migrants. La première est que ceux qui migrent vers l’Italie sont des superstars du football. « Superstars » a deux significations spécifiques en économie discutées dans deux articles fondateurs (Rosen 1981 ; Adler 1985). Sherwin Rosen considère les superstars comme des travailleurs plus productifs que leurs homologues, tandis que Michael Adler les considère comme populaires parmi les consommateurs, de sorte qu’ils attirent un public plus large. Dans les deux cas, ils ont tendance à exister dans des contextes où la productivité ou la popularité d’un individu se traduit par des gains de revenus très importants pour l’employeur, comme cela se produit dans les sports télévisés ou les concerts de musique où la productivité de l’individu est « augmentée » par le contexte technologique dans lequel le le travailleur effectue. La deuxième raison potentielle d’une prime salariale pour les migrants est la possibilité que les travailleurs autochtones subissent une baisse de salaire pour rester dans leur pays d’origine.
Nous montrons que le différentiel reflète en partie le statut de superstar des travailleurs migrants, mais il reflète également les préférences des travailleurs domestiques pour travailler dans leur région d’origine. Chez les Italiens, ceux qui évoluent à proximité de leur lieu de naissance subissent un malus salarial particulièrement important. On peut considérer le fait d’être « local » comme une commodité pour laquelle ils sont prêts à accepter un différentiel salarial compensatoire. Alternativement, on pourrait dire que ces acteurs sont contraints d’accepter ce salaire face au pouvoir de monopsone patronal, ce qui n’affecte pas les travailleurs migrants.
Les clubs de football profitent-ils de ce talent migrant ? La réponse est oui. Nous estimons les contributions des joueurs aux victoires de l’équipe et à la participation des fans aux matchs qui, dans nos données, sont les principaux déterminants des revenus de l’équipe. Pour ce faire, nous examinons les changements dans les points gagnés et la fréquentation de la foule au sein de chaque équipe saison après saison et les comparons aux changements dans la part des migrants dans l’équipe. Nous constatons qu’une augmentation de 1 % de l’écart type de la part des migrants augmente la fréquentation de la foule aux matchs d’un peu moins de 1 %. L’effet sur le nombre de points qu’une équipe gagne est d’une ampleur similaire. Ces augmentations de points d’équipe et de fréquentation de la foule avec l’augmentation du pourcentage de migrants dans l’équipe sont de solides indicateurs du statut de superstar des migrants.

Réduire ses mensualités immobilières

Le refinancement d’un prêt immobilier : Qu’est-ce que c’est et comment cela fonctionne-t-il ? Votre maison est un investissement. Le refinancement est un excellent moyen d’utiliser votre maison pour rentabiliser cet investissement. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles vous pouvez vouloir refinancer votre maison, par exemple pour obtenir des liquidités de votre maison, réduire votre remboursement et raccourcir la durée du prêt. Voyons comment fonctionne le refinancement d’un prêt hypothécaire pour que vous sachiez à quoi vous attendre. Que signifie exactement le refinancement d’une maison ? Lorsque vous refinancez l’hypothèque de votre maison, vous achetez et vendez essentiellement votre hypothèque actuelle pour une plus récente, souvent avec un tout nouveau principal et un taux d’intérêt différent. Votre prêteur utilise alors le nouveau prêt hypothécaire pour rembourser le prêt existant, de sorte que vous n’avez plus qu’un seul prêt et une seule mensualité. Il y a des raisons pour lesquelles les gens refinancent leur maison. Le refinancement en espèces vous permet d’utiliser la valeur de votre maison ou le refinancement en fonction du taux et de la durée pour obtenir un meilleur taux d’intérêt ou un paiement mensuel moins élevé. Un refinancement peut également être utilisé pour retirer une autre personne de votre prêt immobilier, ce qui se produit fréquemment en cas de séparation et de divorce. Enfin, vous pouvez aussi ajouter une personne à votre prêt hypothécaire. La procédure de refinancement est généralement beaucoup plus facile que celle de l’achat d’une maison, même si elle comporte la plupart des mêmes étapes. Il peut être difficile de prévoir le temps que prendra votre refinancement, mais le délai typique est de 30 à 45 jours. Examinons de plus près la procédure de refinancement. La première étape de cette procédure consiste à évaluer les types de refinancement pour trouver le choix qui vous convient le mieux. Lorsque vous faites une demande de refinancement, votre fournisseur de prêt vous demande les mêmes informations que celles que vous lui avez fournies ou que celles d’un autre prêteur lorsque vous avez acheté la maison. Il examinera vos revenus, vos ressources, vos dettes et votre cote de crédit pour déterminer si vous répondez aux critères de refinancement et si vous pouvez rembourser le financement. Votre fournisseur de prêt peut également exiger les documents de votre conjoint si vous êtes marié ainsi que dans une condition de propriété de voisinage (indépendamment du fait que votre conjoint soit sur le prêt). Il se peut que l’on vous demande davantage de documents relatifs à la trésorerie si vous êtes employé à titre personnel. C’est également une bonne idée d’avoir vos déclarations fiscales utiles au cours des dernières années. Vous n’avez pas besoin de refinancer avec votre fournisseur de prêt actuel. Lorsque vous souscrivez auprès d’un autre organisme de crédit, ce dernier rembourse votre prêt actuel, mettant ainsi fin à votre relation avec votre ancien organisme de crédit. N’hésitez pas à faire le tour du marché et à évaluer les taux actuels, l’accessibilité et le degré de satisfaction des clients de chaque prêteur. Une fois que vous êtes approuvé, vous pouvez avoir la possibilité de verrouiller votre taux d’intérêt, afin qu’il ne change pas avant la clôture du prêt. Le verrouillage du taux est définitif entre 15 et 60 jours. La durée du mécanisme de verrouillage du taux dépend de quelques facteurs tels que votre région, le type de prêt financier et le fournisseur du prêt. Vous pouvez même obtenir un bien meilleur taux en choisissant de verrouiller le mécanisme pour une période plus courte, car le fournisseur de prêt n’a pas à se couvrir contre le marché pendant aussi longtemps. Attention toutefois : si votre prêt financier n’est pas clôturé avant la fin de la période de verrouillage, il se peut que l’on vous demande de prolonger le mécanisme de verrouillage du taux, ce qui peut coûter cher. Vous pourriez également avoir le choix de faire flotter votre taux, Keyliance ce qui signifie ne pas le fixer avant d’aller de l’avant avec le prêt financier. Cette fonction peut vous permettre d’obtenir un prix réduit, mais elle vous fait également courir le risque d’obtenir un taux plus élevé. Dans certains cas, vous pourriez obtenir le meilleur des deux mondes avec un choix de taux flottant, mais si vous êtes satisfait des prix pendant la période d’utilisation, alors c’est généralement une bonne idée d’aller de l’avant et de verrouiller votre prix.

Préserver les gains en Asie

Pendant des décennies, une cohorte de diplomates américains, d’officiers militaires, de stratèges, d’universitaires et d’analystes ont développé une expertise approfondie dans la gestion de la politique américaine à Taiwan et dans les affaires trans-détroit. Ils ont étudié le processus menant au rapprochement de Richard Nixon avec la République populaire de Chine en 1971 et 1972, la gestion par Jimmy Carter de la normalisation des relations et l’adoption par le Congrès américain du Taiwan Relations Act en 1979, et l’interprétation de Ronald Reagan de 1982 Communiqué conjoint États-Unis-Chine. Ils maîtrisaient les textes sacrés »- les trois communiqués conjoints, la Taiwan Relations Act et les Six Assurances. Ils ont établi des relations de longue date et établi leur crédibilité à Taipei et à Pékin. Ils ont compris les enjeux de la façon dont l’approche américaine des problèmes de Taïwan et du détroit pourrait avoir un impact sur la position des États-Unis en Asie et la stabilité régionale. Et ce groupe a collectivement servi de coque de protection autour de l’un des défis de politique étrangère les plus sensibles et délicats auxquels les États-Unis ont été confrontés au cours des 40 dernières années.
Bien que l’histoire ne bouge jamais en ligne droite et qu’il y ait eu des périodes de test, dans l’ensemble, la politique américaine sur Taiwan et les questions trans-détroit a réussi à protéger les meilleurs intérêts américains. Les États-Unis ont simultanément fait des progrès importants dans l’approfondissement des liens officieux avec le peuple de Taïwan, développé des relations américano-chinoises au milieu de la montée historique de la Chine et loin d’être préétablie, tout en gérant son intérêt durable pour la paix et la stabilité entre les deux rives du détroit.

Malgré l’absence de relations diplomatiques officielles, les relations américano-taïwanaises ont prospéré. En mai 2015, la sous-secrétaire d’État adjointe à l’époque, Susan Thornton, a décrit Taiwan comme un partenaire vital, «qui partage nos valeurs, a gagné notre respect et continue de mériter notre soutien.» 1 Ce partenariat est illustré par le fait que Taiwan devienne les États-Unis. Dixième partenaire commercial en biens, son septième marché d’exportation de produits agricoles et sa septième source d’étudiants étrangers dans les écoles américaines.2 Le commerce avec Taïwan et l’investissement entrant de Taïwan aux États-Unis soutiennent plus de 320 000 emplois aux États-Unis. Taïwan est devenu un citoyen modèle sur la scène mondiale, contribuant considérablement à relever les défis transnationaux allant du changement climatique au terrorisme et à la Corée du Nord. La coopération en matière de sécurité entre les États-Unis et Taïwan a été solide et cohérente. Depuis 2010, la branche exécutive a notifié au Congrès américain plus de 15 milliards de dollars de ventes d’armes à Taïwan, et au cours de cette période, les échanges et les engagements militaires entre les États-Unis et Taïwan ont également considérablement augmenté. À un niveau moins quantifiable, le parcours démocratique de Taïwan a servi de source d’inspiration et de connaissances pour de nombreuses personnes à travers l’Asie.
Les relations américano-taiwanaises ont également servi de symbole puissant pour les alliés et partenaires en Asie de l’Est et au-delà. Par exemple, Tokyo et Séoul considèrent la relation officieuse comme un signe de la détermination de Washington à respecter les principes et à soutenir ses amis, même si cela peut générer des frictions avec Pékin.
La constance de l’approche américaine a joué un rôle stabilisateur dans les relations trans-détroit. Les États-Unis ont été inébranlables dans leur conviction que toute résolution des différends inter-détroit doit être réalisée de manière pacifique et d’une manière acceptable pour les populations des deux côtés du détroit. Dans le cas de Taïwan, cela signifie que toute résolution doit refléter la volonté démocratique du peuple taïwanais. Il s’est opposé aux modifications unilatérales du statu quo de part et d’autre du détroit. Il a refusé de jouer un rôle de médiation entre Pékin et Taipei, s’est engagé à ne pas faire pression sur Taïwan pour négocier avec le continent et a rejeté toute idée selon laquelle les États-Unis utiliseraient Taïwan comme levier dans leurs relations avec le continent. Dans le même temps, les États-Unis ont développé régulièrement leurs relations avec Pékin. Au cours des 40 dernières années, les relations américano-chinoises sont passées d’un lien ténu au niveau des dirigeants à l’une des relations bilatérales les plus intégrées, complexes et conséquentes au monde. Washington et Pékin ont réussi à compartimenter leurs divergences sur Taïwan et à éviter qu’elles ne bouchent les liens qui unissent leurs relations.
L’approche américaine de longue date des relations inter-détroit a été brièvement remise en question le 2 décembre 2016, lorsque le président élu Donald Trump s’est entretenu par téléphone avec le président taïwanais Tsai Ing-wen, ce qui a érodé une norme de longue date sur la préservation de la caractère officieux des relations américano-taiwanaises. Neuf jours plus tard, Trump a suggéré que Taïwan pourrait être utilisé comme un levier avec Pékin pour aider à obtenir des concessions sur le commerce3. Puis, deux mois plus tard, quand il est devenu évident que le président chinois Xi Jinping n’entendrait aucune considération de concessions et gèlerait plutôt les contacts avec Trump, le président nouvellement élu a fait marche arrière, promettant à Xi lors d’un appel téléphonique qu’il honorerait « la politique des États-Unis en faveur d’une seule Chine ». Cet épisode a mis à nu les risques de freelance sur une politique aussi sensible et finement atténuée.

Cet épisode a également déclenché une saine réflexion personnelle dans la communauté politique de Washington pour savoir si les trois parties sont sur la bonne voie pour maintenir la paix et le progrès des 40 dernières années. En particulier, les trois acteurs centraux – Washington, Taipei et Pékin – ont trois récits différents pour expliquer les lignes de tendance trans-détroit. Les trois parties devront éviter de se retrouver piégées dans leurs propres récits en écoutant attentivement la façon dont les autres parties évaluent les développements. S’ils ne le font pas, il y a un risque que ces récits différents conduisent les parties dans des directions divergentes, avec des conséquences potentiellement importantes pour la paix et la stabilité entre les deux rives du détroit.
Le point de vue du continent sur les relations trans-détroit
Le président Xi dirige maintenant la Chine vers le grand rajeunissement de la nation chinoise, avec une échéance pour le projet fixée à 2049, le centenaire de la fondation de la République populaire de Chine. Un élément central de cet objectif est de rétablir la nation chinoise dans son ensemble, selon la conception de Pékin de ses frontières.
Les participants à la présentation au 19e Congrès du Parti communiste du rapport de travail du président Xi ont reflété ce sentiment quand ils auraient provoqué les applaudissements les plus vifs d’un discours de plus de trois heures aux lignes suivantes:
Nous restons fermes dans la sauvegarde de la souveraineté et de l’intégrité territoriale de la Chine, et nous ne permettrons jamais que la tragédie historique de la division nationale se répète. Toute activité séparatiste rencontrera certainement l’opposition résolue du peuple chinois. Nous avons la détermination, la confiance et la capacité de vaincre les tentatives séparatistes pour l’indépendance de Taiwan »sous quelque forme que ce soit. Nous ne permettrons à personne, à aucune organisation ou à aucun parti politique, à aucun moment ni sous aucune forme, de séparer une partie quelconque du territoire chinois de la Chine! 4
La sensibilité notoirement élevée de Pékin aux problèmes de Taiwan devrait se renforcer à mesure que la célébration du centenaire de 2049 approche. Pékin est susceptible de devenir de plus en plus hostile à toutes les actions qui soutiennent réellement ou optiquement tout semblant de séparation permanente de Taiwan du continent. Des signes de cette tendance sont déjà visibles. Au cours de l’année écoulée, Pékin a pris de plus en plus peur que le président taïwanais Tsai cherche à faire avancer une campagne de dé-sinification »à Taïwan dans le cadre d’une stratégie visant à accroître la distance entre les deux côtés du détroit. Pékin a cité des révisions proposées des manuels pour recadrer l’histoire des événements à Taiwan (et non à Taiwan et sur le continent) et des initiatives pour protéger les traditions culturelles et linguistiques uniques des groupes autochtones comme efforts de Tsai et d’autres pour cultiver une identité taïwanaise croissante … en particulier chez les jeunes – ce qui est distinct du continent. Pékin craint qu’à mesure que les nouvelles générations de Taiwan grandissent sans aucun lien personnel ou familial avec le continent, elles considéreront de plus en plus le continent comme étranger et distinct de Taiwan.
Peut-être pas par coïncidence, Pékin au cours de l’année écoulée a régulièrement accru la pression sur Taiwan, et sur le président Tsai en particulier, dans l’espoir que cette pression amènera les citoyens de Taiwan à conclure que leur avenir s’améliorera en se rapprochant du continent. Cette stratégie a également été informée par une opinion dominante à Pékin selon laquelle, même si Tsai a été modérée dans son approche des problèmes trans-détroit jusqu’à présent, elle a néanmoins des arrière-pensées pour éloigner Taïwan du continent et ne devrait pas bénéficier du doute. Voici des exemples de mesures prises par Pékin pour augmenter la pression:
Réduction du nombre de touristes et d’étudiants du continent à Taiwan;
Restreindre l’espace pour la participation de Taiwan aux forums multilatéraux;
Élargir le rythme des opérations militaires chinoises de tous les côtés de Taiwan;
Rehausser le profil public des développements de capacités militaires qui seraient applicables à une confrontation inter-détroit;
Déplacer publiquement les objectifs trans-détroit en insistant pour que le président Tsai reconnaisse le consensus de 1992 « avec la même interprétation des deux côtés du détroit (contrairement à l’acceptation par Pékin de la reconnaissance par Ma Ying-jeou du consensus de 1992 » avec des interprétations différentes);
Courtiser les récents diplômés de Taiwan pour qu’ils travaillent en Chine grâce à des salaires plus élevés et à des logements plus abordables; et
Braconnage progressif de la liste alliée diplomatique de Taiwan.
Pour être clair, les actions de Pékin à ce jour semblent avoir été calibrées pour servir de signaux d’alerte pour contraindre la modération comportementale, et non pas comme des signaux d’une utilisation imminente de la force par Pékin contre Taiwan. Néanmoins, Pékin indique clairement que sa patience n’est pas illimitée, qu’elle ne tolérera pas la séparation permanente de Taïwan du continent et qu’elle considère la réunification comme un élément clé du grand rajeunissement de la nation chinoise.
Le Congrès national quinquennal du Parti communiste chinois de Chine donne un aperçu des plans de la Chine. Depuis 2002, les rapports de travail du secrétaire général et du Congrès du Parti utilisent un langage largement cohérent pour décrire l’approche du continent à Taiwan. Comme notre collègue de Brookings Richard Bush l’a évalué, le rapport de Xi Jinping remis au 19e Congrès du Parti récemment conclu était en grande partie cohérent avec les articulations précédentes, sauf avec l’omission notable d’une déclaration selon laquelle le continent mettra de l’espoir sur le peuple de Taiwan en tant que force pour aider à apporter à propos de l’unification5. Cette exclusion pourrait refléter une reconnaissance du fait que l’identité des habitants de Taïwan est de moins en moins liée au continent et davantage liée à une association avec Taïwan. Mais cela soulève la question de savoir si Pékin respectera les souhaits des citoyens de Taïwan, ou si Pékin s’appuiera davantage sur sa propre puissance nationale pour réaliser l’unification car il devient moins confiant que les forces politiques à Taïwan rapprocheront l’île du continent. . Par exemple, Pékin a cherché à fomenter un débat à Taïwan sur des questions nationales politiquement conflictuelles, telles que la réforme des retraites, afin de saper la confiance du public dans le gouvernement taïwanais. De telles activités ont suscité des inquiétudes à Taiwan quant à l’impact potentiel que des organisations financées par Pékin ou des experts des médias en faveur de l’unification pourraient avoir pour influencer le discours public à Taiwan.6
Le point de vue de Taiwan sur les relations trans-détroit
Alors que les dirigeants de Pékin ressentent la pression du temps, les dirigeants de Taipei font preuve de patience dans leur approche des problèmes transfrontaliers. Le peuple taiwanais est conditionné à vivre avec des tensions trans-détroit et soutient donc largement le maintien du statu quo inter-détroit. Le point central des débats politiques à Taïwan n’est pas sur les approches concurrentes des questions trans-détroit, mais plutôt sur la façon de renforcer la compétitivité économique de Taïwan afin d’améliorer la qualité de vie de ses résidents.
À l’heure actuelle, le Parti démocratique progressiste au pouvoir (DPP) est l’organisation politique dominante de l’île. L’opposition Kuomintang, qui est l’interlocuteur politique préféré de Pékin, est une force politique considérablement affaiblie après les élections de 2016. Cette absence d’alternatives viables donne au DPP la certitude que tant qu’il ne prend pas des mesures qui pourraient être interprétées comme modifiant le statu quo trans-détroit, il peut se permettre d’être patient. La direction du DPP estime que Pékin n’aura pas d’autre choix que de s’en occuper tôt ou tard et que l’effet de levier fonctionne dans les deux sens dans la relation inter-détroit. Par exemple, le continent cherche de plus en plus d’investissements extérieurs pour stimuler l’innovation économique et l’emploi, et Taiwan est le deuxième investisseur du continent. L’administration Tsai, par le biais de sa nouvelle politique en direction du sud, encourage les entreprises taïwanaises à envisager de diversifier et de déplacer leurs investissements vers les marchés d’Asie du Sud-Est. Si un tel changement se produit, cela pourrait renforcer le fait que Taipei a des moyens de faire sentir ses opinions à Pékin, tout comme Pékin à Taipei.
Alors que les relations trans-détroit et la question de la perpétuation du statu quo ont joué un rôle dans l’élection de Tsai, sa campagne et la direction du DPP se sont principalement concentrées sur les questions nationales et la présence de Taiwan dans la communauté internationale au sens large. Les domaines d’intervention spécifiques comprennent la modernisation de l’économie, la transition de l’île vers une plus grande dépendance aux énergies renouvelables, la diversification des relations commerciales et d’investissement pour réduire le risque de dépendance excessive sur le marché du continent, et le rapprochement diplomatique de l’île avec d’autres acteurs majeurs, tels que les États-Unis, Japon, Inde, Australie et Union européenne. Tsai reconnaît que Pékin a la capacité de renverser les quelques alliés diplomatiques restants de Taiwan et a donc cherché à recentrer le débat sur la politique étrangère de Taiwan loin des facteurs qu’elle ne peut contrôler. Son changement met l’accent sur le rôle de Taiwan sur la scène mondiale et les partenariats substantiels avec les grandes puissances, même s’il n’a pas de relations diplomatiques officielles avec elles.
La direction du DPP considère les efforts susmentionnés visant à réviser les manuels et à protéger les cultures autochtones comme des problèmes liés à la politique intérieure de Taiwan, et non comme des atouts de négociation dans les affaires trans-détroit. Ainsi, alors que l’administration Tsai estime qu’elle poursuit actuellement prudemment une stratégie de couverture dans les limites du statu quo inter-détroit, Pékin craint que Taïwan ne propose une stratégie pour éloigner Taïwan du continent.

À court terme, Pékin n’a pas montré d’intérêt à modifier sa position rigoureuse envers Tsai. Pékin a refusé de maintenir des voies de communication directes et faisant autorité avec l’administration Tsai. Cette absence de communication officielle a accru le risque de méprise mutuelle sur les intentions, en particulier depuis que Pékin a suspendu ses contacts officiels en juin 20167.
Le point de vue des États-Unis sur les relations trans-détroit
Les responsables à Washington s’inquiètent des intentions de Pékin, des limites de la capacité de Taïwan à résister à la coercition et du risque que le dynamisme de Taïwan ne diminue à mesure que Pékin isole davantage l’île au fil du temps. Cela conduit Washington à essayer de renforcer le sentiment d’urgence de Taipei à prendre des mesures pour se renforcer. Pendant ce temps, les États-Unis exhortent Pékin à faire preuve de retenue et à être conscients de la façon dont ses actions ont un impact sur les attitudes des résidents de Taiwan à l’égard du continent.
En octobre 2017, lors d’un discours à Brookings, l’ambassadeur James Moriarty, président de l’American Institute in Taiwan, a décrit les contributions de Taiwan au sein de la communauté internationale, a réitéré la nature durable des relations américano-taïwanaises et a appelé au cocktail classique de patience, de flexibilité et de créativité »dans relations trans-détroit. Reflétant l’approche globale de Washington, Moriarty a reconnu la détermination du président Tsai à maintenir des liens stables entre les détroits face à la pression croissante de la RPC sur un certain nombre de fronts », tout comme il a également déclaré que Taiwan peut et doit faire plus en tant que menace à la sécurité contre il continue d’évoluer. »8
En particulier, à travers ses engagements avec Taipei, les responsables américains mettent l’accent sur des questions de sécurité telles que la préparation militaire et l’état de préparation des forces de réserve. Les responsables américains exhortent Taïwan à tirer des enseignements des investissements dans la défense par des pairs confrontés à des défis de sécurité tout aussi redoutables, tels qu’Israël, l’Ukraine et la Corée du Sud. Ils encouragent Taiwan à accorder la priorité aux investissements militaires sur des capacités asymétriques et innovantes qui lui permettront d’utiliser ses avantages géographiques et de proposer des solutions à faible coût pour dégrader les capacités militaires du continent. Les responsables américains encouragent Taiwan à faire avancer les réformes internes qui stimuleront la compétitivité économique et concentreront les efforts sur la garantie d’un meilleur accès aux marchés pour les partenaires de la région et au-delà. À cet égard, Washington pousse également Taïwan à supprimer les obstacles au resserrement des relations commerciales entre les États-Unis et Taïwan, à savoir ses restrictions sur les importations américaines de bœuf et de porc.
Bien que de tels efforts risquent de sembler dominateurs envers leurs homologues de Taipei, ils sont néanmoins animés par la volonté américaine d’aider Taiwan à se renforcer. Washington voit Pékin projeter une ombre de plus en plus grande sur Taiwan et craint qu’avec le temps cette ombre ne limite le dynamisme économique et la stabilité politique de Taiwan. Ces inquiétudes ont pris une nouvelle ampleur au cours des cinq dernières années, car l’ampleur des ambitions de Xi a soulevé des inquiétudes quant à la possibilité pour Pékin d’utiliser un pouvoir plus coercitif à Taiwan. Dans l’ensemble, les inquiétudes de Washington semblent motivées par une évaluation selon laquelle Pékin devient de plus en plus impatient et Taipei risque d’être trop complaisant face à d’éventuels défis à l’horizon.

Une bonne stratégie commence par une conception claire des objectifs. Dans le cas de Taïwan et des relations inter-détroit, les objectifs américains comprennent la préservation de la paix et de la stabilité inter-détroit et la force et la sécurité économiques, politiques et militaires de Taïwan. L’objectif de la stratégie américaine est de créer un environnement dans lequel Taiwan peut s’engager avec Pékin à partir d’une position de force, et Pékin estime qu’il existe une base pour maintenir une relation positive avec Taiwan. La résolution finale du différend inter-détroit est une question qui appartient aux gens des deux côtés du détroit, mais la façon dont il est décidé – pacifiquement ou de manière coercitive – est d’une immense importance pour les intérêts américains.
À ces fins, les quatre paniers d’efforts suivants pourraient améliorer la capacité des États-Unis à protéger leurs intérêts à long terme:
Soyez attentif aux inquiétudes omniprésentes de Taiwan selon lesquelles Washington sacrifiera les intérêts de Taiwan en échange de la coopération chinoise ailleurs. Bien que Washington ne puisse jamais éliminer complètement ces angoisses, ils peuvent aider à atténuer ces préoccupations, y compris par le biais de réitérations claires, cohérentes et publiques de la politique américaine par de hauts responsables gouvernementaux. Des engagements diplomatiques réguliers et calmes avec de hauts responsables taïwanais contribuent également à limiter les insécurités en garantissant la transparence des objectifs de chaque partie lors de ses échanges avec Pékin. Dans le même temps, des initiatives diplomatiques et économiques conjointes visibles, telles que la négociation d’un accord d’investissement bilatéral entre les États-Unis et Taïwan, contribuent également à renforcer la confiance du public sur l’île au sujet de la relation entre les États-Unis et Taïwan. Plus la confiance du public dans la relation est grande, moins les hauts responsables taïwanais peuvent ressentir pour rechercher des achats de prestige d’articles de défense, ce qui risque de bloquer une part importante du budget limité de la défense de Taïwan dans les coûts d’approvisionnement et de maintenance et potentiellement au détriment de plus des capacités économiques et asymétriques qui maximisent les avantages géographiques de Taiwan pour se défendre.
Lors de réunions privées avec des responsables chinois, soyez sans ambiguïté et indéfectible que les intérêts de Washington à Taiwan sont de longue date, et que même si les États-Unis n’entraveront aucun résultat pacifique entre les deux rives du détroit, ils n’encourageront aucun effort de Pékin pour imposer un résultat sans le consentement ou le soutien du peuple de Taiwan. La constance des États-Unis à l’égard de cette position au cours des 40 dernières années a joué un rôle utile dans l’atténuation des impulsions à Pékin pour rechercher une option ouvertement coercitive. Alors que le pouvoir relatif de Pékin grandit et que sa patience s’épuise, il sera important pour Pékin d’avoir une évaluation claire de la façon dont l’adoption d’une stratégie de réunification coercitive risquerait ses relations avec les États-Unis.
Soyez plus créatif et proactif en lançant des initiatives de coopération avec les autorités de Taïwan qui servent les intérêts américains. Ces dernières années, les États-Unis et Taïwan ont mis en place des plateformes de coopération par le biais du Programme international pour l’environnement et du Cadre de formation pour la coopération mondiale. Taïwan a des capacités importantes pour contribuer à relever les défis mondiaux, tels que le renforcement des capacités de santé publique dans les pays en développement, la promotion de l’adoption de projets d’énergie renouvelable, la contribution à la reconstruction dans les sociétés sortant d’un conflit et l’aide à la réponse humanitaire aux catastrophes naturelles. Taïwan a également la possibilité dans la mer de Chine méridionale de convertir ses éléments occupés en plates-formes de recherche scientifique, contribuant ainsi à établir un modèle à suivre pour les autres. Enfin, Taïwan souhaitera peut-être tirer des enseignements de la création par la Finlande du Centre d’excellence pour la lutte contre les menaces hybrides, alors qu’il cherche à devenir un chef de file régional dans l’élaboration de meilleures pratiques pour contrer les efforts des acteurs externes pour manipuler les gens par la propagande, les opérations clandestines et l’ordinateur. les exploitations de réseaux.9 Alors que les États-Unis relèvent leurs propres défis causés par les campagnes de désinformation, la coopération en matière de cybersécurité et la lutte contre la participation extérieure à la politique intérieure seraient bénéfiques pour les deux parties.
Soyez cohérent en veillant à ce que Taiwan reste un problème bipartite à Washington, et non un domaine où aucun parti ne peut s’engager dans la notation politique. Cela nécessitera la discipline des autorités de Washington et de Taipei pour préserver le soutien bipartisan qui a si bien servi les intérêts américains pendant si longtemps. Alors que le Congrès américain joue un rôle plus actif dans le domaine de la politique étrangère, il sera important que la législation relative à Taïwan maintienne les coparrains et le soutien bipartites.
Les mots d’ordre d’une stratégie et d’une politique américaines efficaces continueront d’être la cohérence et le courage. Bien que ces éléments ne garantissent aucun résultat spécifique, ils fournissent la meilleure approche pour protéger les intérêts américains durables jusqu’à ce que les dirigeants des deux côtés du détroit de Taiwan trouvent la sagesse de résoudre leurs différends pacifiquement.

Le terrorisme en Afrique

Al Shabab, le groupe terroriste somalien, a attaqué samedi un fond des forces armées au Kenya qui est utilisé par chacun des États-Unis et des facteurs kenyans, conformément à U.S.Africa Control. « NOUS. Africa Control reconnaît qu’il y a une invasion à l’aérodrome de Manda Bay, au Kenya et surveille le problème », a déclaré un porte-parole de l’US Africa Order dans une assertion fournie à ABC News. «Au fur et à mesure que des détails et des détails surgissent, nous proposerons une mise à niveau.» L’État n’a pas fourni de détails sur d’éventuelles victimes sur le fond des services militaires kenyans qui a localisé You.S. personnel des forces armées depuis longtemps. Il est vraiment incertain que le nombre de travailleurs citoyens américains soit stationné au fond, ce qui aurait été un site Web pour les forces d’opérations spéciales américaines opérant en Somalie. Dans une déclaration, la Kenya’s Protection Pushes (KDF) a déclaré qu’il y avait eu une tentative d’atteinte à la stabilité de la piste d’atterrissage de Manda – qui se trouve être à proximité de la fondation Camp out Simba US – mais qu’elle a été «repoussée avec succès». «Le physique de quatre terroristes a augmenté », a déclaré le KDF à partir du document. «La piste d’atterrissage reste sûre et sécurisée.» Samedi, une filiale d’Al-Qaïda, marketing al-Shabaab, a fait état d’une obligation d’invasion du camping Simba, dans la région de Lamu, près de la frontière du Kenya avec la Somalie. Certaines options ont indiqué que pendant l’assaut, un certain nombre d’avions avaient été endommagés, dont le C-146A Wolfhound dirigé par You.S. Commandement des procédures spéciales et avion espion Havilland Canada Dash-8 modifié, qui détient la règle de signature civile américaine N8200L. Le C-146A Wolfhound est vraiment un avion tactique développé et fabriqué par Fairchild Dornier, pour la US Atmosphere Force (USAF). L’avion offre des déplacements accueillants, réceptifs et opérationnels à vos employés du US Unique Surgical Procedures Control (USSOCOM) dans le théâtre. L’avion est également utilisé pour effectuer des missions de l’aviation de faible intensité (NSAv) pour soutenir le commandement des fonctions spécifiques des articulations de l’USSOCOM. À propos du Dash-8, il peut s’agir d’un avion spécifiquement modifié, doté d’un radar à ouverture artificielle capable de produire des images sur une zone de près de trois kilomètres en fonction de l’altitude de l’avion. Il avait également une tourelle indicatrice avec des caméscopes électro-visuels et infrarouges. Les autorités kenyanes ont déclaré avoir cité avec le Linked Push, également mentionné que deux avions, un seul kenyan et un autre des États-Unis, ainsi que deux hélicoptères américains et également d’autres véhicules, avaient été détruits de l’invasion. Dans son affirmation sur l’invasion de dimanche, al-Shabab a déclaré qu’il avait infligé de « lourdes pertes » aux forces américaines et kenyanes et établi qu’il possédait des naufragés You.S. avion et voitures. Dimanche, des militants islamistes somaliens ont expliqué qu’ils avaient ruiné plusieurs avions et quelques voitures lors d’une grève contre la fondation des services militaires de l’État de Lamu au Kenya, utilisée par chaque armée américaine et kenyane, bien que leurs comptes n’aient pas pu être vraiment confirmés individuellement.

La situation ne va pas s’améliorer de sitôt

La semaine dernière, je me suis déplacé à à Moscou pour assister à un congrès , pendant lequel des économistes ont dressé un tableau de le développement du Moyen-Orient d’ici quinze à vingt ans. C’est un problème qui revient souvent, car cette région du monde peut se changer en marché décisif qu’un bourbier. Et une chose qui est clairement ressortie, c’est qu’au cours des vingt prochaines années, il y aura plus de risques de conflits entre États qu’on ne le croit généralement. Si une grande partie du secteur va devenir plus paisible, et ressembler à d’autres parties du monde comme par exemple l’Asie où prévalent les objectifs économiques l’emportent, mais d’autres régions resteront des grandes bombes à retardement. Le mélange d’une économie de plus en plus libérale et de pouvoirs totalitaires ne saurait être plus efficace pour qu’éclatent des des conflits régionaux. Cela dit, voyage Ibiza tout n’est pas noir non plus. Après 2020 néanmoins, l’Iran pourrait avoir renié ses appétences nucléairesDe fait, l’Iran aura trouvé un autre moyen de garantir leur sécurité. Bien que l’attraction qu’exerce Al-Qaida soit destinée à refluer, des noyaux durs vont demeurer et l’utilisation des nouvelles technologies de pointe aggravera les dégâts qu’ils commettent. Un certain nombre d’États de la région ambitionnent d’ores et déjà acquérir la bombe atomique. Dans D’ici peu, plusieurs États devraient renforcer leurs efforts pour posséder l’arme nucléaire, afin de contrer les prétentions iraniennes vis-à-vis du nucléaire. Cela apportera une dimension encore plus menaçante à l’antagonisme qui s’exerce pour l’influence dans la région, notamment les chiites d’Iran et les sunnites chez la plupart de ses voisins. Evidemment, les pays occidentaux entreront eux aussi en jeu pour protéger leur accès aux sources d’énergie et négocier des armements dernier cri high tech en échange d’un plus grand poidspolitique. J’ai vraiment trouvé ce colloque à Vienne intéressant. Le débat s’appuyaient sur des faits concrets. Et l’organisation, histoire de ne rien gâcher. D’ailleurs, je vous mets en lien le site de l’agence qui a concocté le programme. Elle a fortement contribué à dynamiser cet événement.Plus d’information sur ce voyage entreprise en surfant sur le site internet de l’organisateur.

Le Sukhoï Su-35 , Un Chasseur Multirôle De Génération 4++

Il n’a plus rien à voir avec les Su-27 de générations précédentes si ce n’est son allure générale . Le premier vol du prototype du Su-35 de nouvelle génération ( également appelé Su-35BM puis Su-35S ) a eu lieu en février 2008 . Il a été rejoint par un second en octobre 2008 . Un troisième a été perdu lors d’un accident au sol en avril 2009 avant son premier vol . N035 Irbis-E en bande X permettant de détecter une cible aérienne jusqu’à 400 km , de suivre jusqu’à 30 cibles aériennes et d’en engager 8 simultanément . En mode air-surface , il permet de suivre 8 cibles terrestres et d’en engager simultanément 4 . ’un soutien au sol. 5ème génération encore en cours de développement ( PAK-FA côté russe, F-35 côté américain ) . Le premier Su-35S de série a effectué son premier vol en mai 2011 et sert actuellement aux essais en compagnie de 3 autres appareils sortis d’usine en 2011-12 . Les réglages, les couleurs et certains défauts (fisheye) mériteraient d’être corrigés ou améliorés. Le champ de vision est de 130° et la transmission video avec la télécommande ST10 est de 300m (normes CE). La caméra s’utilise avec une carte mini SD, la mémoire est extensible jusqu’à 128G. Elle est dotée d’une nacelle qui permet de la stabiliser au moment des prises de vue aériennes. La nacelle permet d’avoir des images qui ne sont pas saccadés même si le drone est secoué par le vent, la vitesse, etc. Le Typhoon Q500 est un appareil à décollage et atterrissage verticale. Son temps de vol maximum est de 25 mn. Initialement, il peut monter jusqu’ à une altitude maximale de 122m (le maximum étant autorisé par la loi en France est de 150m) mais avec le logiciel Q500 on peut augmenter cette valeur (dans un pays où cela est autorisé). Sa vitesse maximum de rotation est de 65°/s avec un angle maximum de 35°. La vitesse de descente maximale est de 2m/s. Il possède deux mode de vol, le mode angle et le mode smart. Il est aussi possible de n’utiliser aucun des modes préprogrammés et de le régler à votre sauce.

Avec cette hausse dans le poids, tour en avion de chasse on a du renforcer encore plus le train d’atterrissage ainsi que les freins. Le radar a été également modernisé et renforcé. Le F-15D est la version biplace correspondante à ce prototype. Le F-15E Strike Eagle est un F-15D modifié. Il fut conçu en 1986 pour une meilleure capacité multirôle, et d’attaque tout temps. Semblable au F-15D, on a cependant modifié son avionique avec la modernisation des radars AN/APG-70 en modes air-sol ainsi que l’ajout de nacelles infrarouges Martin Marietta LANTIRN. Les postes de pilotages ont été également équipés d’écrans multifonctions. Cette nouvelle version fut équipée d’une nouvelle motorisation avec deux General Electric F110-GE-129 ou deux Pratt & Whitney F100-PW-229. Avec une masse maximale de 36 741 kg, sa masse à vide a atteint le 14 379 kg. Son rayon d’action passe à 4 445 km en convoyage et 1 270 km en combat. Bref, ce nouveau F-15E est capable d’emporter jusqu’à deux bombes nucléaires Mk.51 ou B61. Le F-15 Streak Eagle est un F-15A modifié. Il fut conçu en 1974 afin de battre les records de vitesse ascensionnelle, qui furent à l’époque détenus par les F-4 Phantom II et MiG-25. Cette version a vu l’élimination de l’aérofrein, les volets, le radar, les systèmes électroniques et l’armement afin de trouver un poids plus alléger et on a commencé à améliorer l’aérodynamisme. • 30 000 m en 208 secondes. Le F-15 Silent Eagle a été présentée par l’avionneur Boeing en mars 2009. Cette version a été conçue pour la transition entre les F-15 et les F-22. Un emport d’armes en soute, des stabilisateurs verticaux inclinés à 15°vers l’extérieur ainsi qu’un nouveau revêtement ont été ajoutés à cet appareil. On a amélioré le radar a été amélioré. Jusqu’à l’heure actuelle, il semble qu’Israël, l’Arabie Saoudite et le Japon sont intéressés.

Ils ont repris leur envol et, cette fois, dans la plus pure lignée de leur créateur au dessin, Uderzo. Matthieu Durand a mis en images un roman de Charlier, L’Avion qui tuait ses pilotes, sous le titre de Menace sur Mirage F1 prévu en deux volumes. Hormis que Durand a vraiment su s’adapter au style des premiers Tanguy et Laverdure sans louper son décollage, il y a la fidélité parfaite à l’ambiance Charlier. À Istres le Mirage F1 fait ses débuts. Malgré deux crashes, Tanguy vole sur le F1 et éprouve des difficultés alors que des pilotes étrangers doivent venir le tester. Un Américain grande gueule, un Allemand très sérieux, un Italien jovial et un Sud Africain rejoignent Laverdure et Tanguy qui les forment au F1 et vont les lâcher sur l’avion. Mais les pannes en vol s’accumulent et plusieurs pilotes s’en tirent de justesse. Problèmes techniques de jeunesse de l’avion ou sabotages ? D’autant que le pilote US a travaillé pour un concurrent du F1. La progression dramatique est classique. Tanguy est suspicieux. Laverdure toujours aussi gaffeur est amoureux d’une dinde, les pilotes étrangers ont leur part d’ombre. Lequel sera le méchant ? Reste que la pression monte et que Durand maîtrise les scènes aériennes et la volonté de coller aux origines par un dessin vraiment pointu. Belle reconstitution des décors de l’époque. L’adaptation du roman de Charlier est signée par Patrice Buendia, fidèle lui aussi au ton Charlier. Ce Tanguy rejoint les collections Classic de Zéphyr pour Dargaud comme Buck Danny chez Dupuis. Un retour qui devrait satisfaire tous les fans.

La stratégie réfléchie et réaliste a porté ses fruits: l’Inde a commandé au total 272 chasseurs. Cela a permis d’organiser une grande production de série, ce qui a eu un effet positif sur les caractéristiques économiques et d’exploitation de tous les Sukhoi. Le «Tonnerre» russe: de quoi est capable cette nouvelle bombe guidée? L’une des principales solutions utilisée dans le Su-30MKI a été l’architecture ouverte des équipements de bord électroniques. Dans le cadre de l’architecture traditionnelle ses systèmes communiquent entre eux à travers des interfaces spécifiques — des lignes de communication, des protocoles d’échange d’information, etc. Dans le cadre de l’architecture ouverte, l’interaction des systèmes est organisée par un bus de données. Dans la plupart des cas la modernisation de l’avionique ou l’accroissement de l’arsenal se réduit à une mise au point de l’électronique. Cette architecture ouverte a fait partie des principaux facteurs qui ont déterminé la compétitivité du Su-30SM aujourd’hui. Une autre nouveauté-clé du Su-30MKI, héritée par le Su-30SM, a été l’antenne réseau à commande de phase. Son élaboration était un grand défi pour les ingénieurs. Ce radar élargit considérablement le nombre de cibles accompagnées dans les airs et au sol.

Quelques plus tôt, le ministre argentin de la Défense, Julio Martinez, avait évoqué le possible achat, auprès de la France, de 12 Mirage F1, sans préciser le montant de la transaction. Pour l’Argentine, qui ne dispose plus d’aviation de chasse digne de ce nom depuis le retrait de ses derniers Mirage IIIEA/DA et 5P Mara, cette solution était intéressante au regard de sa situation économique et financière. Mais visiblement, Paris et Buenos Aires n’ont pas conclu l’affaire, ce qui a très certainement évité d’éventuelles protestations du Royaume-Uni, lequel, à cause des îles Falkands/Malouines, est très chatouilleux quand l’Argentine parle de renforcer ses capacités militaires. Pour autant, la France n’a pas renoncé à vendre ses Mirage F1. En mai, le site Defens’Aero a fait état d’une possible vente de 80 cellules (dont 30 ayant encore du potentiel de vol) à trois entreprises d’outre-Atlantique : Draken International, Airborne Tactical Advantage Company (ATAC) et Air USA. Ces dernières fournissent des plastrons pour l’entraînement des pilotes de combat américains et disposent, à cette fin, chacune d’une flotte relativement importante d’avions de combat de conception ancienne. Le 22 juin, La Tribune a donné davantage de précisions sur ce dossier, visiblement prioritaire. Mais il n’est plus question de vendre 80 cellules mais 64. Et le tout pour seulement 25 millions d’euros, ce qui est bien loin de la somme espérée lors des discussions avec l’Argentine. Ce n’est pas la première fois qu’il est question d’une carrière « américaine » pour le Mirage F1. En 2010, la lettre spécialisée TTU avait évoqué l’intérêt de Washington pour quelques exemplaires « déclassés » afin de leur faire jouer le rôle « d’agresseurs » lors d’exercices aériens de type Red Flag.